L’étude a analysé trois exemples de bien
immobilier, chacun en variante «standard» et «lumière+»:
1. Des combles de 100 m² sont
transformés en un logement de location (LL) de 85 m², avec respectivement
4 et 8 fenêtres de toit pour les variantes «standard» et «lumière+»
2. Des combles de 130 m² sont
transformés en un logement de propriété (LP) de 100 m², avec
respectivement 5 et 10 fenêtres de toit pour les variantes «standard» et
«lumière+»
3. Les combles de 130 m² d’une maison
individuelle (MI) sont transformés en un espace habitable de 100 m², avec
respectivement 5 et 10 fenêtres de toit pour les variantes «standard» et
«lumière+»
Le résultat est clair: pour chacun des
trois exemples, la plus-value financière des combles – déduction faite de tous
les coûts supplémentaires dus au doublement du nombre de fenêtres de toit – est
d’au moins dix pour cent en variante «lumière+».
Différents bâtiments ont été étudiés à
titre d’exemple dans les huit villes que sont Zurich, Saint-Gall, Lucerne,
Bâle, Berne, Lugano, Genève et Neuchâtel. L'étude couvre ainsi une vaste
étendue géographique, ce qui la rend pertinente à l'échelle nationale. Sur la
base de ce modèle, on peut ainsi calculer la plus-value d'un tel bien
immobilier partout en Suisse.
Pour
connaître la plus-value de combles admettant plus de lumière du jour en
fonction de la ville où ils se trouvent, rendez-vous ici.
Plus d'informations sur l'étude :
Florian Landolt
Public Affairs Manager
Bahnhofstrasse 40
4663 Aarburg
+41 79 469 27 05